
- Les syndiqués (typiques des RATP, La Poste, ASSEDIC...). Pas question de faire des minutes sup' ou de travailler durant ses pauses afin d'ouvrir un autre guichet et d'écouler un peu l'interminable queue. Si son service se termine à 17h30, il s'arrêtera à 17h25 (voir 17h00 à La Poste.) Et où est-ce qu'il la prend, sa pause? Au guichet, avec ceux qui travaillent! C'est très rageant lorsque vous achetez une carte orange et que vous voyez 3 personnes discutant avec l'unique guichetier... Evidemment, tous les prétextes sont bons pour s'éclipser. Les postiers sont très forts pour mettre 10 minutes (montre en main) pour aller chercher un Colissimo et comme par hasard, au retour, ils ont une tache de café ou une haleine qui sent la clope...
- Le client-roi. Apparement, le commercial, c'est pas leurs trucs, ils devraient trouver un autre boulot. Moi, par exemple, ça fait 15 ans que je vais à la maison de la presse du Perreux (c'est la seule de la ville.) Vous croyez que depuis le temps, on m'y accueillerait comme un roi. Tu parles! Bonjour et au revoir sont en option, on me jette quasiment ma monnaie à la figure et si je regarde un peu trop les voitures des collection Altaya, on vient me surveiller, comme si j'allais mettre un fassicule sous mon blouson...
- Le discret. Respect de l'intimité, connais pas! Dans les banques, non seulement n'importe qui a accès à votre compte, mais en plus, ils n'hésitent pas à interpeler leurs collègues: "Eh! Il est déjà découvert, je le lui donne son chéquier ou pas?" Comme ça, toute la banque (à commencer par les autres clients) ont connu mes déboires financiers. Mais le pire, ce fut la première fois que j'ai acheté des preservatifs (à Monoprix.) La caissière pensait qu'il y avait une promo et elle a fait une demande au haut-parleur, comme dans la pub maxi-bon. Bref, ça c'est la honte!
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